Comment
limiter les erreurs
judiciaire
judiciaire
La
justice
est
la base de la démocratie dans laquelle tout pouvoir doit être
limité par un contre-pouvoir.
Ce n'est pas le cas pour les Magistrats.
Ce n'est pas le cas pour les Magistrats.
Les
Magistrats disposent de pouvoirs considérables sur la vie des
citoyens
mais,
sous prétexte de leur indépendance nécessaire, c'est la seule
profession n'ayant pas à rendre compte de ses décisions.
Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, qu'il y ait des erreurs, beaucoup plus nombreuses que ne le croient ceux qui n'ont jamais eu à faire à la justice.
Les erreurs judiciaires des Magistrats sont parfois corrigées avec les secours judiciaires prévus.
Les fautes disciplinaires des Magistrats, notamment leurs fautes professionnelles lourdes (omissions ou erreurs d'interprétations des faits ou de la loi tellement graves qu'elles n'auraient pas dû échapper à leurs auteurs) ne sont jamais sanctionnées, privilège qu'ils sont les seuls à détenir.
Les Magistrats qui contrôlent d'autres Magistrats ont d'abord le souci de la préservation de l'image de la justice, souci qui coïncide heureusement avec celui de leur solidarité corporatiste, ...
Les victimes de la justice ne peuvent pas attaquer les Magistrats. Elles doivent d'abord attaquer l’État, ce qu'elles ne font pratiquement jamais.
D'ailleurs, en cas de condamnation de l’État et alors que ce dernier peut se retourner contre les Magistrats, il n'a jamais exercé ce pouvoir .
Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, qu'il y ait des erreurs, beaucoup plus nombreuses que ne le croient ceux qui n'ont jamais eu à faire à la justice.
Les erreurs judiciaires des Magistrats sont parfois corrigées avec les secours judiciaires prévus.
Les fautes disciplinaires des Magistrats, notamment leurs fautes professionnelles lourdes (omissions ou erreurs d'interprétations des faits ou de la loi tellement graves qu'elles n'auraient pas dû échapper à leurs auteurs) ne sont jamais sanctionnées, privilège qu'ils sont les seuls à détenir.
Les Magistrats qui contrôlent d'autres Magistrats ont d'abord le souci de la préservation de l'image de la justice, souci qui coïncide heureusement avec celui de leur solidarité corporatiste, ...
Les victimes de la justice ne peuvent pas attaquer les Magistrats. Elles doivent d'abord attaquer l’État, ce qu'elles ne font pratiquement jamais.
D'ailleurs, en cas de condamnation de l’État et alors que ce dernier peut se retourner contre les Magistrats, il n'a jamais exercé ce pouvoir .
voir
la vidéo sur le lien pour exemple d'injustice :
Il
est fort possible que les magistrats soient racistes et qui condamne
sans raison les citoyens de couleur différente et personne ne peut
les contredire donc les erreurs de la justice sont nombreuse.
Pour
éviter ces erreurs il faut absolument que l’État met en place
contre-pouvoir pour que les magistrat sans contrôler et ne condamne
pas sans raison. Il faut aussi que les magistrat ne font pas se que
bon leur semblent, qu'ils condamne selon la loi et les preuves qu'ils
ont devant eux. Ce n'est pas encore le cas en 2016.
Certaines
enquêtes sont résolue trop rapidement en étant baclé donc cela
entraînent de nombreuses erreurs judiciaires car même sans assez de
preuves les magistrat inculpe les personnes innocent donc le vrai
coupable est encore en liberté et peut continuer ses crimes ou ses
délits.
En
novembre 2000, dans un petit village de Loire-Atlantique, un ouvrier
agricole de 47 ans est arrêté par les gendarmes : une adolescente
l’accuse d’agressions sexuelles. Il clame son innocence, mais le
juge d’instruction le place en détention provisoire. Au bout d’un
an, il est libéré. L’instruction judiciaire suit son cours. En
2003, il est convoqué devant la Cour d’assises. Une simple
formalité, pense-t-il. Verdict : 16 ans de réclusion criminelle.
Aujourd’hui,
la « victime » n’est plus une adolescente, mais une jeune femme
de 22 ans. Et elle revient sur ses accusations. « J’ai
raconté beaucoup de bêtises »,
avoue-t-elle.
Avec
cet exemple nous voyons bien que les juges sont manipuler très
facilement par les victimes qui peuvent raconter tout et n'importent
quoi alors que les accuser ne sont même pas entendu et même s'ils
sont entendu les magistrat ne les écoutent pas.
Conclusion :
On peut conclure que les erreurs de justice peuvent exister et ne
sont pas rares. Les magistrat doivent pouvoir être contrer car il
peuvent accuser n'importe qui sans raison donc il faut un contre
pouvoir et les magistrat doivent condamner seulement d'après la loi
et les preuves qu'ils ont alors que ce n'est pas le cas.
Walid
KHIAR Roni KUCUKARSLAN et Corentin GUICHARD
Attention, lorsque vous recopiez un site internet, vous devez citer vos sources. De plus il faut être attentif à qui se cache derrière ces sites... M Speroni.
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