mardi 24 novembre 2015

Comment limiter les erreurs 

judiciaire

La justice est la base de la démocratie dans laquelle tout pouvoir doit être limité par un contre-pouvoir.
Ce n'est pas le cas pour les Magistrats.
Les Magistrats disposent de pouvoirs considérables sur la vie des citoyens mais, sous prétexte de leur indépendance nécessaire, c'est la seule profession n'ayant pas à rendre compte de ses décisions.
Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, qu'il y ait des erreurs, beaucoup plus nombreuses que ne le croient ceux qui n'ont jamais eu à faire à la justice.
Les erreurs judiciaires des Magistrats sont parfois corrigées avec les secours judiciaires prévus.
Les fautes disciplinaires des Magistrats, notamment leurs fautes professionnelles lourdes (omissions ou erreurs d'interprétations des faits ou de la loi tellement graves qu'elles n'auraient pas dû échapper à leurs auteurs) ne sont jamais sanctionnées, privilège qu'ils sont les seuls à détenir.
Les Magistrats qui contrôlent d'autres Magistrats ont d'abord le souci de la préservation de l'image de la justice, souci qui coïncide heureusement avec celui de leur solidarité corporatiste, ...
Les victimes de la justice ne peuvent pas attaquer les Magistrats. Elles doivent d'abord attaquer l’État, ce qu'elles ne font pratiquement jamais.
D'ailleurs, en cas de condamnation de l’État et alors que ce dernier peut se retourner contre les Magistrats, il n'a jamais exercé ce pouvoir .
voir la vidéo sur le lien pour exemple d'injustice :

Il est fort possible que les magistrats soient racistes et qui condamne sans raison les citoyens de couleur différente et personne ne peut les contredire donc les erreurs de la justice sont nombreuse.
Pour éviter ces erreurs il faut absolument que l’État met en place contre-pouvoir pour que les magistrat sans contrôler et ne condamne pas sans raison. Il faut aussi que les magistrat ne font pas se que bon leur semblent, qu'ils condamne selon la loi et les preuves qu'ils ont devant eux. Ce n'est pas encore le cas en 2016.
Certaines enquêtes sont résolue trop rapidement en étant baclé donc cela entraînent de nombreuses erreurs judiciaires car même sans assez de preuves les magistrat inculpe les personnes innocent donc le vrai coupable est encore en liberté et peut continuer ses crimes ou ses délits.





En novembre 2000, dans un petit village de Loire-Atlantique, un ouvrier agricole de 47 ans est arrêté par les gendarmes : une adolescente l’accuse d’agressions sexuelles. Il clame son innocence, mais le juge d’instruction le place en détention provisoire. Au bout d’un an, il est libéré. L’instruction judiciaire suit son cours. En 2003, il est convoqué devant la Cour d’assises. Une simple formalité, pense-t-il. Verdict : 16 ans de réclusion criminelle.
Aujourd’hui, la « victime » n’est plus une adolescente, mais une jeune femme de 22 ans. Et elle revient sur ses accusations. « J’ai raconté beaucoup de bêtises », avoue-t-elle.
Avec cet exemple nous voyons bien que les juges sont manipuler très facilement par les victimes qui peuvent raconter tout et n'importent quoi alors que les accuser ne sont même pas entendu et même s'ils sont entendu les magistrat ne les écoutent pas.




Conclusion : On peut conclure que les erreurs de justice peuvent exister et ne sont pas rares. Les magistrat doivent pouvoir être contrer car il peuvent accuser n'importe qui sans raison donc il faut un contre pouvoir et les magistrat doivent condamner seulement d'après la loi et les preuves qu'ils ont alors que ce n'est pas le cas.

Walid KHIAR Roni KUCUKARSLAN et Corentin GUICHARD

1 commentaire:

  1. Attention, lorsque vous recopiez un site internet, vous devez citer vos sources. De plus il faut être attentif à qui se cache derrière ces sites... M Speroni.

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